mardi 19 juillet 2011

Les Yeux jaunes des crocodiles, Katherine Pancol

Partons de la quatrième de couverture: 
"Ce roman se passe à Paris.
Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes,
Celles que nous voudrions être,
Celles que nous ne serons jamais,
Celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l'histoire d'un mensonge.
Mais aussi une histoire d'amours,
D'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c'est la vie."
Une quatrième de couverture prometteuse pour une lecture estivale. 
Il ne s'agit pas de n'importe quelle lecture: ce roman a obtenu le Prix Maison de la Presse en 2006.
Je me demande comment ils décernent ce prix... Si c'est au nombre de caractères imprimés, alors oui, ce roman vaut largement sa récompense. 660 pages qui n'ont pas réussi à me captiver. 
J'ai trouvé ce livre ennuyeux. Il ne m'a pas fait rire, ni même sourire. Il ne m'a pas fait pleurer (et pourtant j'ai la larmichette facile).  Des héros totalement communs, envers lesquels on n'arrive pas à s'intéresser.
Je ne comprends pas comment ce livre a pu, et continue à remporter un tel succès. Il est partout, dans chaque librairie. Qui n'a jamais vu cette couverture?
Un conseil: passez votre chemin ;)
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